Mes études « stirneriennes » m’ont appris bien plus que ce qu’elles sont, j’y suis devenu moi en une période de la vie où l’on apprend tout juste à être qui on sera…

Si quelqu’un peut y trouver un intérêt, j’en suis content.

Elles sont produites ici sous licence créative commons, pour la science, et parce que cela me fait plaisir aussi un peu.

Bonne lecture,

François Hatot

NB : Si vous vous dites : « Max Stirner, c’est qui celui là ? » voici une rapide vignette de son éditeur français sur France Culture :

Le premier travail réalisé est un mémoire qui met en perspective les apports du spinozisme des années 60 pour mieux comprendre le concept d’unicité chez Max Stirner.

Le second poursuit cette réflexion pour explorer à nouveaux frais l’étrange impression de « parenté » éprouvée par beaucoup de lecteurs entre certains des thèmes et certaines des thèses de Nietzsche et de Stirner.

Le troisième travail est la traduction d’un texte de Saul Newman dans les idealistic studies du printemps 2003 à propos de Deleuze et Stirner intitulé : Empiricism, Pluralism and Politics in Stirner and Deleuze – Idealistic Studies V. 33, I. 1, Spring 2003 Saul Newman

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